vendredi 23 octobre 2009

Si j'accueillais ses paroles avec, sans rire, au fond de moi, de l'amour et du sourire, et pas de la méfiance instinctive, ça serait totalement différent.

Bon, je reconnais à ma décharge que ses aproles sont jetées souvent avec une passion emportée qui rend plus difficile le décodage.

On dirait toujours qu'il y a le feu, que la fin est proche, que tout va mal aller, c'est pénible.

ça nous met dans une sorte de stress, de situation d'urgence ultra gênante.
Comment faire ?

Et du reste, pour quoi ? Pourquoi suis-je dans un état pareil ?

C'est irationnel !

ça m'agace !
C'est l'objectif. Si : chaque fois qu'elle aprle, qu'elle écrit, je reste zen. je ne prends pas le truc dans la figure, je suis tranquille.

Actuellement ça n'est pas ça : j'ai une bouffée d'adrénaline, ça me coupe les articulations.